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Un été de chefs-d'œuvre
Jeudis culte dans les cinémas UGC
(Re)découvrez quelques-uns des films qui ont marqué l’histoire du cinéma grâce aux séances UGC Culte ! Au programme des séances de juillet : une satire vertigineuse sur les dérives de la téléréalité, un western spaghetti légendaire, une parabole féroce sur la lutte des classes, et un volet mythique de la saga James Bond.
(Re)découvrez quelques-uns des films qui ont marqué l’histoire du cinéma grâce aux séances UGC Culte ! Au programme des séances de juillet : une satire vertigineuse sur les dérives de la téléréalité, un western spaghetti légendaire, une parabole féroce sur la lutte des classes, et un volet mythique de la saga James Bond.
Un été de chefs-d'œuvre - Jeudis culte dans les cinémas UGC
THE TRUMAN SHOW
Pique-nique à Hanging Rock, L’Année de tous les dangers, Le Cercle des poètes disparus… En 1998, le réalisateur australien Peter Weir parfait son étincelante et éclectique carrière avec cette histoire en avance sur son temps, écrite par le futur réalisateur de Bienvenue à Gattaca, Andrew Niccol : celle d’un agent d’assurance, Truman Burbank, qui découvre qu’il est filmé depuis son plus jeune âge, 24 heures sur 24, pour un programme télé ! Une satire avant l’heure des dérives de la téléréalité, une fable effrayante sur les médias. Un film à part, poétique et très touchant. Un énorme succès qui permit à Jim Carrey, alors la plus grande star d’Hollywood, de démontrer son immense talent d’acteur dramatique. Inoubliable et vertigineux.
Jeudi 7 juillet
LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND
Musique d’anthologie signée Ennio Morricone, visages coupés au couteau de Clint (le bon), Lee Van Cleef (la brute), et Eli Wallach (le truand), duel à trois… Peut-être le meilleur western de Sergio Leone – le portrait bourré d’ironie d’une Amérique cupide et hors-la-loi – deux ans avant qu’il ne règle son compte, avec Il était une fois dans l’Ouest, au western spaghetti. Le Bon, la Brute et le Truand marquait la troisième et dernière collaboration entre Sergio Leone et Clint Eastwood, poncho et cigarillo à l’appui, après Pour une poignée de dollars et Pour quelques dollars de plus. C’est cette « trilogie du dollar » qui transforma Clint Eastwood, « l’homme sans nom », en cow-boy mythique du cinéma, un personnage stoïque et taciturne, plus cool que cool. Légendaire et incontournable.
Jeudi 14 juillet
PARASITE
Quand des pauvres squattent chez des riches où… squattent déjà d’autres pauvres ! Un triomphe international, une moisson de récompenses (une Palme d’Or, quatre Oscars majeurs et le César du meilleur film étranger, autant de grandes premières pour un cinéaste et un film coréens dans l’histoire !). Mené de main de maître par Bong Joon-ho, le réalisateur (entre autres) du fabuleux Memories of Murder qui y pousse le mélange des genres jusqu’à l’excellence, une parabole contemporaine sur la lutte des classes, qui nous entraîne de surprise en surprise, aussi vénéneuse que jubilatoire, aussi féroce que drôle. Irrésistible en un mot – même quand on l’a déjà vue et qu’on sait tout ce qui arrive, tellement elle est bien écrite et mise en scène.
Jeudi 21 juillet
GOLDFINGER
Pour les puristes, ce troisième James Bond de la saga est aussi le meilleur. Il sort en 1964, deux ans seulement après la sortie du premier, James Bond contre Dr. No, qui fit d’un acteur écossais – Sean Connery – un sex-symbol mondial. Et après Terence Young, au tour de Guy Hamilton de mettre génialement en scène le héros de Ian Fleming. Le thème musical de John Barry, avec la voix grave de Shirley Bassey sur le générique, l’Austin Martin, une James Bond girl nommée Pussy Galore, une femme lingot… Un James Bond en or, qui n’empêcha pas l’immense Sean Connery de tourner juste avant Pas de printemps pour Marnie avec Alfred Hitchcock. Le cinéma comme on l’aime, mythique et éternel.
Jeudi 28 juillet
Pour découvrir la programmation des séances UGC Culte du dimanche, c’est par ici !
Visuel de couverture : Clint Eastwood – Le Bon, la brute et le truand | Copyright D.R. / Woo-sik Choi – Parasite | Copyright Koch Films / Jim Carrey – The Truman Show | Copyright Ciné Sorbonne / Texte de Jean-Pierre Lavoignat